Jean 17, 7
Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi,
Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi,
Heureux effets produits chez les apôtres par l’acceptation obéissante de la parole de Dieu, vv. 7-8 -
Maintenant : les choses étant ainsi. - Ils savent, littéralement : ils sont arrivés à connaître ; par conséquent, ils
savent. Cf. 5. 3 ; 5, 42 ; 6, 70 ; 8, 52, 55 ; 14, 9, etc. - Que tout (mot accentué) ce que vous m’avez donné…
L’œuvre entière de la rédemption, considérée dans ses nombreux détails ; tout le ministère messianique du
Seigneur Jésus. - Vient de vous. Notez l’emploi du présent : ces choses sont et demeurent divines.
L’expression traditionnelle " Oraison dominicale " [c’est-à-dire " prière du Seigneur "] signifie que la prière à Notre Père nous est enseignée et donnée par le Seigneur Jésus. Cette prière qui nous vient de Jésus est véritablement unique : elle est " du Seigneur ". D’une part, en effet, par les paroles de cette prière, le Fils unique nous donne les paroles que le Père lui a données (cf. Jn 17, 7) : il est le Maître de notre prière. D’autre part, Verbe incarné, il connaît dans son cœur d’homme les besoins de ses frères et sœurs humains, et il nous les révèle : il est le Modèle de notre prière.