Jean 14, 24
Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père, qui m’a envoyé.
Celui qui ne m’aime pas ne garde pas mes paroles. Or, la parole que vous entendez n’est pas de moi : elle est du Père, qui m’a envoyé.
Même pensée, négativement
exprimée : quels sont ceux auxquels Jésus ne se manifestera point. - Celui qui ne m’aime pas. Le monde
sceptique, et opposé à N.-S. Jésus-Christ. - Ne garde pas mes paroles. Grand crime (Cf. 7, 16 ; 8, 28 ; 12,
49), dont la conséquence implicite sera : « et mon Père ne l’aimera pas », etc. Comment se manifester à des
hommes indifférents ou même hostiles ? Remarquez le pluriel « mes paroles »; nous lisions « ma parole » au singulier dans le précédent verset. L'unique message est ainsi décomposé en ses diverses parties. - Et la
parole (de nouveau le singulier, qui englobe tous les discours de Jésus) que vous avez entendue...
Notre-Seigneur ajoute cette idée pour mieux démontrer la culpabilité du monde. - N’est pas de moi... En ne
recevant pas sa prédication, c'est la parole même de Dieu que les incrédules ont rejetée.