Marc 3, 10
Car il avait fait beaucoup de guérisons, si bien que tous ceux qui souffraient de quelque mal se précipitaient sur lui pour le toucher.
Car il avait fait beaucoup de guérisons, si bien que tous ceux qui souffraient de quelque mal se précipitaient sur lui pour le toucher.
Il en guérissait beaucoup. Il paraît y avoir eu dans la Vie publique du
Sauveur des périodes plus spécialement consacrée aux miracles, d’autres en grande partie réservées à la
prédication, quoique régulièrement ces deux choses fussent unies de manière à s’appuyer l’une l’autre.
L’époque actuellement décrite par S. Marc fut un temps de nombreux prodiges. — Tous… se jetaient sur lui ;
littéralement, au point qu’on tombait sur lui. Trait tout à fait graphique, qui reproduit la scène sous nos yeux.
— Pour le toucher. Motif de cet empressement, des pauvres malades. Et le bon Jésus se laissait faire ! —
Quelque mal, en grec μάστιγας, des fouets, des coups de fouet. Ce mot, de même que l’hébreu ,שוט
1R 12.44, désigne au figuré toute sorte de souffrances physiques. Cf. v. 29, 34 ; Luc 7, 21. Son emploi dans
cette acception provenait de l’antique croyance que les maladies étaient toujours des châtiments divins.