Matthieu 14, 34
Après la traversée, ils abordèrent à Génésareth.
Après la traversée, ils abordèrent à Génésareth.
1726. Ici est présentée la puissance du Christ. Premièrement, le lieu est décrit ; ensuite, l’attachement des hommes ; puis, la puissance de [son] action.
[Matthieu] dit donc : AYANT ACHEVÉ LA TRAVERSÉE, ILS TOUCHÈRENT TERRE À GÉNÉSARETH, qui est un endroit de l’autre côté de la mer et signifie «le lever». Ainsi, après le danger, ils connurent le soulagement.
[Matthieu] dit donc : AYANT ACHEVÉ LA TRAVERSÉE, ILS TOUCHÈRENT TERRE À GÉNÉSARETH, qui est un endroit de l’autre côté de la mer et signifie «le lever». Ainsi, après le danger, ils connurent le soulagement.
L’Évangéliste raconte ici la fin du voyage occasionné par les recherches d’Hérode, vv. 34-
36. - Lorsqu'ils eurent traversé la mer. La tempête une fois apaisée et le vent redevenu favorable, la sainte
troupe eut bientôt franchi les quelques stades qui la séparaient encore du rivage, Cf. Joan. 6, 21, et elle vient
débarquer dans la terre de Gennésareth. Les manuscrits et les éditions du texte grec, écrivent ce nom propre
de trois manières : quelle que soit l’orthographe véritable, il est clair qu’ils s’agit de la belle et fertile plaine de Gennésareth, située à l’O. du lac, au pied des montagnes, entre Capharnaüm et Tibériade. Les Arabes la
nomment aujourd’hui El-Ghuweir, le petit Ghôr : Josèphe en trace une description enthousiaste, Bell. Jud. 3,
10, 8.
Génésar ou Génésareth. La terre de Génésar était sur le bord du lac de Génésareth ou de Tibériade, à l’ouest, probablement à l’endroit appelé aujourd’hui el-Ghoueir, entre Khan Minyèh et Medjdel. Josèphe dit que cette terre était très fertile et d’une grande beauté.