Matthieu 23, 18
Vous dites encore : “Si l’on fait un serment par l’autel, il est nul ; mais si l’on fait un serment par l’offrande posée sur l’autel, on doit s’en acquitter.”
Vous dites encore : “Si l’on fait un serment par l’autel, il est nul ; mais si l’on fait un serment par l’offrande posée sur l’autel, on doit s’en acquitter.”
2330. Ensuite, [le Seigneur] présente la seconde partie de la tradition : SI L’ON JURE PAR L’AUTEL, CELA N’EST RIEN ; MAIS SI L’ON JURE PAR L’OFFRANDE QUI EST DESSUS, ON EST DÉBITEUR.
Le Sauveur apporte ici un second exemple des serments alors
usités chez les Juifs et des distinctions ridicules qu’on y établissait d’après l’enseignement des Docteurs.
Jurer par l’autel des holocaustes, ce n’était rien ; mais si l’on jurait par les victimes offertes et consumées sur et autel, on devait accomplir son serment sous peine de parjure et de sacrilège. - Le premier quelqu'un
(quicumque dans le texte latin) est au nominatif absolu, comme au v. 16, la phrase restant suspendue.