Matthieu 6, 31
Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : “Qu’allons-nous manger ?” ou bien : “Qu’allons-nous boire ?” ou encore : “Avec quoi nous habiller ?”
Ne vous faites donc pas tant de souci ; ne dites pas : “Qu’allons-nous manger ?” ou bien : “Qu’allons-nous boire ?” ou encore : “Avec quoi nous habiller ?”
956. Ici, [le Seigneur] tire la conclusion de ces deux choses. Et tu dois interpréter l’inquiétude de quatre façons, comme il a été dit auparavant. Si tu vis dans une communauté, ne t’inquiète pas d’avoir plus de nourriture ou plus de vêtements [que les autres] ; au contraire, sois parmi eux comme l’un d’entre eux.
Après cette argumentation dans laquelle il a donné tant
de preuves de la Providence vraiment maternelle de Dieu à notre égard, Jésus-Christ revient à sa première
recommandation : Ne vous inquiétez donc pas. « Donc », déduction emphatique qui signifie : N’est-il pas
évident qu’il en doit être ainsi ?
Jésus demande un abandon filial à la providence du Père céleste qui prend soin des moindres besoins de sens enfants : " Ne vous inquiétez donc pas en disant : qu’allons-nous manger ? qu’allons-nous boire ? (...) Votre Père céleste sait que vous avez besoin de tout cela. Cherchez d’abord son Royaume et sa justice, et tout cela vous sera donné par surcroît " (Mt 6, 31-33 ; cf. 10, 29-31).